On est bien d'accord que tout ce qui est homologué et cértifié dans un pays de l'Europe a droit également de libre circulation en Europe et probablnt ailleurs. En contre-exemple, les modifications ultérieures apportée sur un vitrage peuvent être tolérėrées pour certaines limites dans un pays, tel la France, et pas du tout dans un autre,comme la Suisse, voire l'Allemagne ou autre.
Mais il y a probablement dans ces règles effectivement absurdes du CT comme l'histoire de ces jantes ci et là pour un même modèle, là mise en place probable d'une sorte de "garde-fou" veillant à éviter toute dérive inconnue dans ce qui peut être ultérieurement modifié ou ajouté après qu'un modèle comercialisé selon une identités précise dans laquelle le véhicule a reçu certification et l'homologation.
Ce problème va d'ailleurs devenir de plus en plus complexe, mais il a probablement aussi du sens.
Je m'étais, par exemple déjà interrogé , et en raison de mon ignorance et de mon incompétence sur le sujet, et sur le PTC, concernant l'existence de ces kits de batterie rechargeables. Il n' était après tout pas impossible que l'équilibre des charges suspensives ou bien au niveau de diverses sécurisations pussent être finalement modifiées ou atténuées et finalement bien moins bien entrer dans le cadre déjà homologué du véhicule. Et il y a, de fait, parfois tant d'inter-dépendances structurelles inattendues et même environnementales ( les risques, par exemple, pour les pompiers qui interviennent dans le cadre d'un accident, etc.) que mon questionnement reste néanmoins légitime.
Aussi, je pense qu'il faut être très prudent et avoir compétence sur la nature et les conséquences que cela entraîne dès qu'une modification est apportée sans être inscrite, je suppose, au registre des mines (ou quelque chose comme cela ) et quî a ainsi autorisé la comercialisation du véhicule selon une identité particulièrement rconnue selon chacun des pays où il est comercialisé.
Pour mémoire, le contrôle technique vérifie 10 points généraux de conformité qualitative de ce qui a été déjà reconnu et homologué pour tout véhicule comercialisé et il n'est pas simple,en effet, pour ces organismes certificateurs de s'interroger si telle ou telle modification constatée ne risquerait pas de remettre en cause la probation qu'ils ont reçu dans leur mission d'expertise certificatrice, précisément en raison que ces modifications constatées quî, éventuellement, risqueraient eventuellement de déséquilibrer ( par exemple l'équilibre pré-établi et structurel des masses du châssis ) , d'affaiblir ou d'apporter un risque de dangerosité inattendue, ou bien que sais-je quelque chose de toute façons concernant :
1) l'identification
2) le freinage
3) la direction
4) la visibilité
5) l'éclairage et la signalisation
6) les liaisons au sol
7) la structure et la carrosserie
8) les équipements
9) les organes mécaniques
10) la pollution et le niveau sonore
Ceci dit, je ne souhaite pas mettre ainsi du bourdon et une suspension de meilleure qualité sans qu'elle modifie l'équilibre des masses ou la qualité et l'adéquation du freinage par rapport aux masse engagées et quî peut le plus, sans doute peut donc le minimum requis.