Toyota champion de l'écologie ?

Un monument de cynisme qui s'oppose à une tendance mondiale.
Pendant que la Chine, confrontée à une crise environnementale, emboîte le pas aux japonais et coréens, alors que les constructeurs européens ont accepté, de plus ou moins bonne grâce (plus ou moins honnêtement) les contraintes industrielles imposées par des règles de réductions de polluants, les entreprises étasuniennes veulent se refaire des marges à la faveur des rodomontades de leur nouveau président.
Dont acte, l'argument de la prospérité industrielle au prétexte de soutenir l'économie nationale et l'emploi au service des dividendes devrait satisfaire les patriotes....
Ce qui est le plus gênant, c'est la contradiction des représentants aux states des constructeur asiatiques et européens qui entendent défendre leur part de marché selon les nouvelles règles de l'ère Trump.
Dégoût.

Seul motif de satisfaction: la relocalisation sur les USA des unités de production mexicaines est censée redonner du boulot aux ouvriers américains... pour autant que les mêmes entreprises américaines ne poussent pas leur appétit jusqu'à continuer d'employer de la main d'oeuvre immigrée, voire clandestine...