@Helvetoy :
comment ça se passe en Suisse, sur Wikipedia les données sont arrêtées au 05/04.
En France, on constate aussi que les malades chroniques ne se soignent pas. Article de Marianne sur le sujet, mais d'autres en parlent comme Le Figaro (payant)Un autre problème:arghh: de santé publique commence aussi à apparaître:La désertion des services d'urgence.
Cela peut paraître loufoque, mais lisez plutôt ceci: (cela concerne la Suisse mais c'est apparemment le cas partout)
"En Suisse, les patients désertent les urgences et les cabinets médicaux par crainte d'être contaminés par le coronavirus ou d'encombrer les services. Conséquence: les malades ne consultent pas, ou trop tard. Partout en Suisse, les consultations physiques ont chuté depuis le début de la pandémie de coronavirus. Dans certains cas, la diminution atteint même les 80%, selon le reportage de la RTS.
Aux urgences non-coronavirus de l’Hôpital fribourgeois par exemple, une ambiance étonnamment paisible règne. L’activité a diminué de près de moitié en trois semaines.
Les urgences vitales sont en chute libre en Suisse, avec 20% en moins de cas d'AVC et 30% en moins de cas d'infarctus. Les spécialistes veulent à tout prix éviter une surmortalité, en rappelant encore et encore que les urgences ne sont pas surchargées et que les malades du coronavirus sont strictement isolés des autres pathologies.
"Au CHUV, nous constatons une baisse d'environ 35% du nombre d'infarctus que nous avons normalement à la même période. C'est un peu un mystère, mais un mystère qui se dévoile puisque nous avons beaucoup d'infarctus subaigus, qui sont pris en charge trop tardivement. Nous en avons environ quatre fois plus, c'est une grosse inquiétude pour nous", explique Olivier Muller, chef du service de cardiologie au sein de l'hôpital lausannois, dans le 19h30.
L'inquiétude est la même partout ailleurs. "En Espagne, il y a 40% de cas d'infarctus en moins et aux Etats-Unis certaines cliniques déplorent une diminution de 80%. Les gens ont peur d'aller à l'hôpital, de contracter la maladie, ou de surcharger l'établissement", relève Olivier Muller.
Restons optimiste, le monde peut changer, après changera-t-il en bien ou en mal, ah ben on verra.Le cynisme est deja de mise, voir le comportement de l'uefa...
Vu l'absence de soin des malades chronique la secu aussi va faire de belles economies.
Aux usa par contre le business de la malbouffe va crasher, si tous les gros meurent d'infarctus chez eux en tentant de faire du sport...
Mode realiste ON
Quoi qu'il en soit il va falloir deconfiner au plus vite, parce qu'il y aura plus grave que 10000mort avec les consequences desastreuses qui vont suivre. Vu qu'apres l'hopital sera en ruine, la secu encore moins a meme de nous soigner... faut pas croire que nos gouvernements vont aller dans le bon sens, ils vont avoir un beau pretexte economique pour faire encore plus plaisir a la finance...
Ah oui et les dividendes vont continuer tranquille malgres les demandes des ministres de l'eco... pour le moment les actionnaire ont laché les entreprises dont ils n'ont cure pour aller sur l'or, ils reviendront en force a condition de palper gros, va falloir lester niveau ouvrier...
Bon courage, pas pour le confinement, la suite sera dure dure, profitez bien cet ete, ce sera vos dernieres vacances avant un moment...
Mode realiste, ben tjs ON en fait
Le cynisme est deja de mise, voir le comportement de l'uefa...
Vu l'absence de soin des malades chronique la secu aussi va faire de belles economies.
Aux usa par contre le business de la malbouffe va crasher, si tous les gros meurent d'infarctus chez eux en tentant de faire du sport...
Mode realiste ON
Quoi qu'il en soit il va falloir deconfiner au plus vite, parce qu'il y aura plus grave que 10000mort avec les consequences desastreuses qui vont suivre. Vu qu'apres l'hopital sera en ruine, la secu encore moins a meme de nous soigner... faut pas croire que nos gouvernements vont aller dans le bon sens, ils vont avoir un beau pretexte economique pour faire encore plus plaisir a la finance...
Ah oui et les dividendes vont continuer tranquille malgres les demandes des ministres de l'eco... pour le moment les actionnaire ont laché les entreprises dont ils n'ont cure pour aller sur l'or, ils reviendront en force a condition de palper gros, va falloir lester niveau ouvrier...
Bon courage, pas pour le confinement, la suite sera dure dure, profitez bien cet ete, ce sera vos dernieres vacances avant un moment...
Mode realiste, ben tjs ON en fait
"Une publication scientifique est en préparation"
Jan
Face à la gravité de cette situation, le comité de visite décide d’autoriser des témoignages écrits (authentifiés), permettant ainsi de préserver davantage la confidentialité.
Sur sept témoignages écrits reçus, deux révèlent et regrettent les résultats volontairement biaisés de leurs études. Un ingénieur fait ainsi part d’une « falsification de résultats d’expérience à la demande d’un chercheur » et un autre « met en cause la rigueur scientifique lors de l’obtention de certains résultats ».
Mediapart a retrouvé d’autres témoins de telles dérives : plusieurs ingénieurs ou chercheurs nous ont fait part de faits similaires. Comme Mathieu, qui a préparé sa thèse de doctorat auprès du professeur Didier Raoult. Le problème, selon lui, est qu’« il n’admet pas la discussion » : « On fonctionne à l’envers. Il a une idée et on fait des manips pour prouver qu’il a raison. Avec la peur de le contredire, cela peut conduire à biaiser les résultats. Or, c’est bien le doute et la discussion qui permettent à la science d’avancer. »
Il se rappelle la première réunion en présence du professeur. « C’était un mercredi après-midi, à l’occasion d’un “work in progress”. C’est le moment où les thésards présentent l’état de leur recherche. Nous avions cinq minutes pour présenter parfois trois à quatre mois de travail. C’est très court. Au moindre désaccord, Didier Raoult disait : “Vous n’êtes pas là pour penser, c’est moi qui pense.” »
Mathieu n’est pas sorti indemne de ses quatre années passées à l’Urmite. En 2015, alors que le laboratoire lui propose de rester, il choisit de partir. « Je travaillais sur un sujet sur lequel Didier Raoult m’avait donné un angle de recherche et, au fil des tests, je constatais qu’il avait tort, puisqu’à chaque fois, mes tests étaient négatifs. On m’a demandé d’insister et j’ai passé près d’un an à les faire pour prouver qu’il avait raison. À la suite de plusieurs dizaines de répétitions, sans que ce soit complètement positif, un signal est allé dans le sens de Raoult. C’était approximatif, voire biaisé dans la démarche, et donc dans les résultats », confesse-t-il. Malgré cela, son directeur de doctorat, proche collaborateur de Didier Raoult, lui annonce que son étude sera publiée.
« Vu le faible niveau de cette étude et les problèmes qu’elle posait au vu de sa démarche scientifique pour le moins douteuse, on a passé un an à la présenter à des revues qui nous l’ont refusée en pointant du doigt le manque de rigueur scientifique et en particulier des expériences et des contrôles manquants », déplore Mathieu.
Adressés au professeur Didier Raoult, les courriers de refus, que Mediapart a pu consulter, font part des remarques suivantes : « les résultats ne sont pas suffisamment solides », « manque de connaissance » ou « les données sont pour la plupart descriptives » et ne permettent pas de démontrer l’hypothèse initiale de l’étude.
Le pont albiano lagra (Massa Carrara) s'est recroquevillé sur lui-même ...
pour le moment il ne semble pas y avoir de victime pic.twitter.com/GLHouKHiK3
- Amin1908 (@ AMIN1908) 8 avril 2020