Comme tu dis
C
Camtôa, je suis parfois surpris du peu de cas que certains chauffeurs font du ba-ba de la conduite écono-logique : parfois il accélèrent plus que moi entre 2 ronds points et freinent plus fort (et peuvent m'obliger à taper dans les plaquettes si je les ai trop collés). Mais bon, il sont peut--être à la bourre, et lorsque je suis à la bourre, je laisse moi aussi parfois de côté certains principes (dans la respect des limitations en vigueur etc !). Mais l'impact quand il faut donner à boire à 600cv pour relancer l'engin de 40t est... Différent.
Je me suis parfois interrogé sur mon ex-mazout :
En descente, selon la pente, je me posais parfois les questions(absolument existentielles:cigar
suivantes :
Dois-je débrayer et laisser "glider" comme on dit en globish ?
Avantage : ne pas perdre d'énergie dans la frein moteur et ainsi maximiser mon élan pour retarder la relance.
Inconvénient : l'injection fonctionne pour assurer le ralenti (estimé par mes soins à 0,5 L/h).
Dois-je laisser couler sans débrayer ?
Avantage : l'injection est coupée, 0L/100
Inconvénient : le frein moteur dissipe de l'énergie que je ne pourrai pas valoriser.
Bon je changeais de stratégie selon les cas, mais au final je passais parfois sous les 4L/100 sur un plein, pas si mal.