Ça repart cette nuit pour une 4ème saison de Formule 1 à moteur hybride.
Et oui, pour ceux qui n’étaient pas au courant, les trois dernières saisons de Formule 1 ont été courues avec des moteurs hybrides. Les pilotes sont maintenant obligés de respecter certaines règles d’éco-conduite (éco-pilotage ?) s’ils veulent tirer le plein potentiel de leur machine et finir devant la meute.
Pour rappel, voici les caractéristiques principales des moteurs :
La saison suivante, les ingénieurs ont revu leurs copies et les pilotes ont réussi à mieux maitriser les techniques d’éco-conduite permettant de recharger la batterie afin d’effectivement pouvoir profiter des 30 secondes de moteur électrique par tour. Du coup, les problèmes de consommation de l’année précédente ont été oubliés.
La saison dernière, les améliorations, techniques et pilotage, ont permis d’abaisser la consommation et on a commencé à voir des voitures partir pour la course avec seulement 90 kg d’essence à bord (40 l/100). Encore une belle victoire pour l’hybridation.
Pour cette nouvelle saison qui commence, le règlement technique a profondément changé au niveau du châssis. Entre autres, de plus gros pneus et plus d’appui aérodynamique. A tel point que les pilotes passent maintenant les courbes avec plus de 5 g de force centrifuge, à comparer à aux 3 g de la saison dernière.
Comment vont se comporter les moteurs hybrides avec ce nouveau défi à relever ?
(Plus gros pneus, plus d’appuis => consommation en très nette hausse, mais toujours limitée à 100 kg par course)
A, j’oubliai…
Lors de l’apparition des moteurs hybrides, le monde de la Formule 1 a crié au scandale car les voitures étaient trop… Silencieuses
Et oui, pour ceux qui n’étaient pas au courant, les trois dernières saisons de Formule 1 ont été courues avec des moteurs hybrides. Les pilotes sont maintenant obligés de respecter certaines règles d’éco-conduite (éco-pilotage ?) s’ils veulent tirer le plein potentiel de leur machine et finir devant la meute.
Pour rappel, voici les caractéristiques principales des moteurs :
- Moteur essence V6 de 1.6 litres suralimenté à 2.4 bars maximum et réglementairement limité à 15 000 tr/mn.
- Moteur électrique réglementairement limité à 120 kW, relié au vilebrequin.
- Turbocompresseur hybride tournant jusqu’à 125 000 tr/mn.
- Débit d’essence limité à 100 kg/h.
- Masse d’essence allouée pour la course : 100 kg (soit environ 45 l/100km)
- Batterie de 2.8 kWh pour environs 20 kg.
- Consommation du moteur électrique limité à 1.1 kWh par tour de piste (soit 30 secondes à fond)
La saison suivante, les ingénieurs ont revu leurs copies et les pilotes ont réussi à mieux maitriser les techniques d’éco-conduite permettant de recharger la batterie afin d’effectivement pouvoir profiter des 30 secondes de moteur électrique par tour. Du coup, les problèmes de consommation de l’année précédente ont été oubliés.
La saison dernière, les améliorations, techniques et pilotage, ont permis d’abaisser la consommation et on a commencé à voir des voitures partir pour la course avec seulement 90 kg d’essence à bord (40 l/100). Encore une belle victoire pour l’hybridation.
Pour cette nouvelle saison qui commence, le règlement technique a profondément changé au niveau du châssis. Entre autres, de plus gros pneus et plus d’appui aérodynamique. A tel point que les pilotes passent maintenant les courbes avec plus de 5 g de force centrifuge, à comparer à aux 3 g de la saison dernière.
Comment vont se comporter les moteurs hybrides avec ce nouveau défi à relever ?
(Plus gros pneus, plus d’appuis => consommation en très nette hausse, mais toujours limitée à 100 kg par course)
A, j’oubliai…
Lors de l’apparition des moteurs hybrides, le monde de la Formule 1 a crié au scandale car les voitures étaient trop… Silencieuses