Il y a des incompréhensions sur le sujet de la richesse/pauvreté car, à mon avis, les différents intervenants ne parlent pas tous de la même chose.
- La richesse, qui est parfois jugée sur le revenu et parfois sur la capital disponible. Ce ne sont pas les mêmes choses. Ça n'a pas de sens de comparer le revenu de quelqu'un avec la fortune de quelqu'un d'autre.
- La pauvreté peut être exprimée de 2 manières : pauvreté absolue (avec le seuil de 1,90$ par jour) et la pauvreté relative (à 50% ou 60% du revenu médian). Ce sont là aussi 2 choses totalement différentes. La pauvreté relative est un indicateur à prendre avec précaution. Je préfère être sous le seuil de pauvreté en France que dans la classe moyenne supérieure dans n'importe quel pays pauvre. Je l'ai d'ailleurs été 2 ans dans ma vie, quand j'étais étudiant/jeune travailleur.
Je pense que certaines choses peuvent être exprimées de manière factuelle :
- La pauvreté absolue (quoi qu'on pense du seuil de 1,90$) a fortement diminuée en 40 ans.
- Le pourcentage de personnes vivant sous le seuil de pauvreté en France est plutôt stable depuis les années 1980.
Ces constats n'empêchent pas de considérer qu'il y a toujours trop de pauvres en France, ou dans le monde. C'est mon opinion en tout cas et je ne connais personne qui prétend qu'il n'y a pas assez de pauvres. Ce n'est donc pas un engagement très fort de ma part...
L'augmentation des inégalités ne signifie pas que les personnes les plus pauvres voient leurs conditions de vie se détériorer. Ça signifie que leur revenus augmentent moins vite que la moyenne. C'est compatible avec une élévation du niveau de vie de chacun.
Je considère les choses ci-dessus comme des faits. Je veux bien être contredit si je me trompe.
J'ai une opinion concernant les inégalités : les inégalités c'est beaucoup de frustration et de ressentiment envers les autres. Ça rend la vie en société difficile. Les plus riches (nous) ont développé des tas de systèmes pour s'isoler des plus pauvres, mais ça pousse à l'individualisme. Je n'y crois pas sur le long terme.
- La richesse, qui est parfois jugée sur le revenu et parfois sur la capital disponible. Ce ne sont pas les mêmes choses. Ça n'a pas de sens de comparer le revenu de quelqu'un avec la fortune de quelqu'un d'autre.
- La pauvreté peut être exprimée de 2 manières : pauvreté absolue (avec le seuil de 1,90$ par jour) et la pauvreté relative (à 50% ou 60% du revenu médian). Ce sont là aussi 2 choses totalement différentes. La pauvreté relative est un indicateur à prendre avec précaution. Je préfère être sous le seuil de pauvreté en France que dans la classe moyenne supérieure dans n'importe quel pays pauvre. Je l'ai d'ailleurs été 2 ans dans ma vie, quand j'étais étudiant/jeune travailleur.
Je pense que certaines choses peuvent être exprimées de manière factuelle :
- La pauvreté absolue (quoi qu'on pense du seuil de 1,90$) a fortement diminuée en 40 ans.
- Le pourcentage de personnes vivant sous le seuil de pauvreté en France est plutôt stable depuis les années 1980.
Ces constats n'empêchent pas de considérer qu'il y a toujours trop de pauvres en France, ou dans le monde. C'est mon opinion en tout cas et je ne connais personne qui prétend qu'il n'y a pas assez de pauvres. Ce n'est donc pas un engagement très fort de ma part...
L'augmentation des inégalités ne signifie pas que les personnes les plus pauvres voient leurs conditions de vie se détériorer. Ça signifie que leur revenus augmentent moins vite que la moyenne. C'est compatible avec une élévation du niveau de vie de chacun.
Je considère les choses ci-dessus comme des faits. Je veux bien être contredit si je me trompe.
J'ai une opinion concernant les inégalités : les inégalités c'est beaucoup de frustration et de ressentiment envers les autres. Ça rend la vie en société difficile. Les plus riches (nous) ont développé des tas de systèmes pour s'isoler des plus pauvres, mais ça pousse à l'individualisme. Je n'y crois pas sur le long terme.