La réputation de fiabilité des véhicules hybrides Toyota semble en train de prendre un bon coup dans l’aile, après que des incidents graves et potentiellement dangereux affectant les inverters de véhicules hybrides (Prius et Auris notamment) se soient multipliés.
La panne, due à des composants électroniques de mauvaise qualité, rend brusquement le système hybride inutilisable, en coupant parfois brutalement la propulsion, au moment même où le conducteur a besoin d’un surcroît de puissance et d'une forte accélération par exemple pour dépasser ou pour s’insérer dans une autoroute ou un rond-point en toute sécurité (hyper dangereux !).
Toyota, informé du problème depuis des années, n’a rien trouvé de mieux à faire que d’organiser un rappel bidon consistant à chercher à masquer le vice de fabrication en modifiant la programmation de l’inverter pour un coût ridicule, augmentant au passage la consommation et les émissions de CO² des véhicules concernés, sans pour autant résoudre le problème et prévenir définitivement le danger. Rien qu'en France, plus de 22000 véhicules ont été concernés par ce rappel.
Ainsi, bien entendu, cette manœuvre n’a pas servi à grand chose et les pannes se sont multipliées malgré ce rappel inefficace, parce que ce sont bien les inverters eux-mêmes qui sont matériellement défectueux et que, par conséquent, la seule vraie solution technique responsable consisterait purement et simplement à remplacer préventivement les pièces suspectes, chose qui, à environ 3000 € pièce, aurait été ruineuse pour Toyota qui voulait bien gagner de l’argent en mettant des véhicules défectueux sur le marché, mais pas les réparer sérieusement.
Les problèmes et les pannes se sont donc multipliés à un point tel que, aux USA (mais pas encore en France), mis au pied du mur par la menace de poursuites judiciaires commercialement désastreuses, Toyota a bien été obligé de céder aux pressions en prolongeant sur la Prius jusqu’à 15 ans sans limitation de kilométrage, la garantie concernant les pièces défectueuses suspectes responsables de la panne. Ce qui revient à admettre tardivement qu’il s’agit bel et bien d’un vice caché ayant pour origine un défaut de fabrication.
Ce qui est très ennuyeux dans cette affaire, c’est que, en tentant de DISSIMULER la gravité d'un problème par une simple manipulation de la programmation du moteur hybride, Toyota a adopté la même stratégie d’opacité que l’un de ses concurrents allemands épinglé pour des pratiques du même acabit. Sur ce coup là, Toyota nous a bien déçus.
La question de confiance devient donc incontournable : Les consommateurs désireux d’acquérir un véhicule hybride fiable peuvent-ils encore faire confiance à Toyota ?
La panne, due à des composants électroniques de mauvaise qualité, rend brusquement le système hybride inutilisable, en coupant parfois brutalement la propulsion, au moment même où le conducteur a besoin d’un surcroît de puissance et d'une forte accélération par exemple pour dépasser ou pour s’insérer dans une autoroute ou un rond-point en toute sécurité (hyper dangereux !).
Toyota, informé du problème depuis des années, n’a rien trouvé de mieux à faire que d’organiser un rappel bidon consistant à chercher à masquer le vice de fabrication en modifiant la programmation de l’inverter pour un coût ridicule, augmentant au passage la consommation et les émissions de CO² des véhicules concernés, sans pour autant résoudre le problème et prévenir définitivement le danger. Rien qu'en France, plus de 22000 véhicules ont été concernés par ce rappel.
Ainsi, bien entendu, cette manœuvre n’a pas servi à grand chose et les pannes se sont multipliées malgré ce rappel inefficace, parce que ce sont bien les inverters eux-mêmes qui sont matériellement défectueux et que, par conséquent, la seule vraie solution technique responsable consisterait purement et simplement à remplacer préventivement les pièces suspectes, chose qui, à environ 3000 € pièce, aurait été ruineuse pour Toyota qui voulait bien gagner de l’argent en mettant des véhicules défectueux sur le marché, mais pas les réparer sérieusement.
Les problèmes et les pannes se sont donc multipliés à un point tel que, aux USA (mais pas encore en France), mis au pied du mur par la menace de poursuites judiciaires commercialement désastreuses, Toyota a bien été obligé de céder aux pressions en prolongeant sur la Prius jusqu’à 15 ans sans limitation de kilométrage, la garantie concernant les pièces défectueuses suspectes responsables de la panne. Ce qui revient à admettre tardivement qu’il s’agit bel et bien d’un vice caché ayant pour origine un défaut de fabrication.
Ce qui est très ennuyeux dans cette affaire, c’est que, en tentant de DISSIMULER la gravité d'un problème par une simple manipulation de la programmation du moteur hybride, Toyota a adopté la même stratégie d’opacité que l’un de ses concurrents allemands épinglé pour des pratiques du même acabit. Sur ce coup là, Toyota nous a bien déçus.
La question de confiance devient donc incontournable : Les consommateurs désireux d’acquérir un véhicule hybride fiable peuvent-ils encore faire confiance à Toyota ?
Dernière édition: