parkerbol : +1
Excellent constat, que je confirme par mes 25 ans d'expérience, en grande majorité dans des grands groupes / grandes entreprises (domaines IT, semi-conducteurs, aéronautique et automobile).
L'organisation du travail des grandes entreprises / grands groupes localisés en France, est d'un autre âge. Pyramidal, et parfois à double pyramide (l'organisation matricielle à la française). Pourtant, ce ne sont pas les études et les exemples de meilleures organisations du travail en Europe qui manquent ...
Cette organisation pyramidale va à l'encontre du sens des responsabilités, de la réactivité et de l'épanouissement des individus. Elle mène à ranger les salariés dans des silos de compétences / de savoir faire d'où il est très difficile de s'extraire. Elle dilue voire ignore les compétences / savoir faire, et favorise les comportements d'apparence, la rétention d'informations, les "petits pouvoirs" des "petits chefs", la mécompréhension totale du fonctionnement d'entreprise, la distanciation entre direction (et RH) et ceux qui ont les mains dans la camboui, l'idéologie qui en découle (patron exploiteur vs salarié exploité), ....
Excellent constat, que je confirme par mes 25 ans d'expérience, en grande majorité dans des grands groupes / grandes entreprises (domaines IT, semi-conducteurs, aéronautique et automobile).
L'organisation du travail des grandes entreprises / grands groupes localisés en France, est d'un autre âge. Pyramidal, et parfois à double pyramide (l'organisation matricielle à la française). Pourtant, ce ne sont pas les études et les exemples de meilleures organisations du travail en Europe qui manquent ...
Cette organisation pyramidale va à l'encontre du sens des responsabilités, de la réactivité et de l'épanouissement des individus. Elle mène à ranger les salariés dans des silos de compétences / de savoir faire d'où il est très difficile de s'extraire. Elle dilue voire ignore les compétences / savoir faire, et favorise les comportements d'apparence, la rétention d'informations, les "petits pouvoirs" des "petits chefs", la mécompréhension totale du fonctionnement d'entreprise, la distanciation entre direction (et RH) et ceux qui ont les mains dans la camboui, l'idéologie qui en découle (patron exploiteur vs salarié exploité), ....
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