Suite au lobby des constructeurs automobiles, Trump suspend les anciennes normes qui prévoyaient des augmentations graduelles de l'autonomie des véhicules pour atteindre un objectif de 54,5 miles pour un gallon d'essence (4,32 litres aux cent kilomètres) en 2025.
Par conséquent, la limite fixée pour 2020 (l'équivalent de 7,8L/100km selon les standards américains) n'évoluerait pas avant 2026.
«Nous honorons la promesse du président Trump faite aux Américains d'apporter une solution sur la question d'économie de carburant et de normes d'émissions de dioxyde de carbone» (CO2), avance Andrew Wheeler, le patron de l'EPA. «Notre proposition vise à parvenir à un équilibre réglementaire fondé sur les informations les plus récentes et de mettre en place une solution pour les 50 États permettant à davantage d'Américains de pouvoir acheter un véhicule moins polluant, sûr, neuf et moins cher»
Dans un document de travail consulté par l'agence Associated Press, l'un des arguments avancés pour rendre les normes moins strictes que prévues serait la sécurité routière. On pourrait en effet lire que, si les voitures consommaient moins, les automobilistes les utiliseraient plus, multipliant ainsi le nombre d'accidents avec pour conséquence l'augmentation de la mortalité routière.
Selon ledit document, avec une consommation élevée, les automobilistes américains seraient donc moins enclins à prendre leur voiture et le nombre d'accidents serait réduit. En outre, ils circuleraient dans des véhicules plus récents et donc plus sûrs car ceux-ci coûteraient moins cher à l'achat que s'ils embarquaient des technologies et matériaux modernes permettant de réduire leur consommation de carburant. Cela dit, pas sûr qu'un ralentissement de l'innovation soit bénéfique à l'industrie et l'économie américaine pourtant si chères à Donald Trump.
Un poids élevé serait même avancé comme argument de sécurité en cas de choc. Or, les véhicules les plus récents, faits d'alliages à la fois plus légers et plus résistants à la torsion que leurs prédécesseurs, associés à des zones déformables toujours mieux étudiées et divers systèmes de protection, se montrent meilleurs aux crash-tests
En tout cas, étant donné que les normes nationales promues par Obama étaient alignés sur ceux de Californie, le gouvernement de Trump veut également faire sauter la dérogation dont la Californie bénéficie. Cette dérogation permettait à la Californie d'imposer une norme des émissions plus contraignante que la norme nationale.
Mais ça gêne beaucoup les constructeurs automobiles pour des problèmes logistiques.
Note Admin : J'ai envie de tuer des gens...
Par conséquent, la limite fixée pour 2020 (l'équivalent de 7,8L/100km selon les standards américains) n'évoluerait pas avant 2026.
«Nous honorons la promesse du président Trump faite aux Américains d'apporter une solution sur la question d'économie de carburant et de normes d'émissions de dioxyde de carbone» (CO2), avance Andrew Wheeler, le patron de l'EPA. «Notre proposition vise à parvenir à un équilibre réglementaire fondé sur les informations les plus récentes et de mettre en place une solution pour les 50 États permettant à davantage d'Américains de pouvoir acheter un véhicule moins polluant, sûr, neuf et moins cher»
Dans un document de travail consulté par l'agence Associated Press, l'un des arguments avancés pour rendre les normes moins strictes que prévues serait la sécurité routière. On pourrait en effet lire que, si les voitures consommaient moins, les automobilistes les utiliseraient plus, multipliant ainsi le nombre d'accidents avec pour conséquence l'augmentation de la mortalité routière.
Selon ledit document, avec une consommation élevée, les automobilistes américains seraient donc moins enclins à prendre leur voiture et le nombre d'accidents serait réduit. En outre, ils circuleraient dans des véhicules plus récents et donc plus sûrs car ceux-ci coûteraient moins cher à l'achat que s'ils embarquaient des technologies et matériaux modernes permettant de réduire leur consommation de carburant. Cela dit, pas sûr qu'un ralentissement de l'innovation soit bénéfique à l'industrie et l'économie américaine pourtant si chères à Donald Trump.
Un poids élevé serait même avancé comme argument de sécurité en cas de choc. Or, les véhicules les plus récents, faits d'alliages à la fois plus légers et plus résistants à la torsion que leurs prédécesseurs, associés à des zones déformables toujours mieux étudiées et divers systèmes de protection, se montrent meilleurs aux crash-tests
En tout cas, étant donné que les normes nationales promues par Obama étaient alignés sur ceux de Californie, le gouvernement de Trump veut également faire sauter la dérogation dont la Californie bénéficie. Cette dérogation permettait à la Californie d'imposer une norme des émissions plus contraignante que la norme nationale.
Mais ça gêne beaucoup les constructeurs automobiles pour des problèmes logistiques.
Note Admin : J'ai envie de tuer des gens...