Avant de commencer la présentation de ma première hybride, revenons quelques années en arrière.
Ma première voiture fut une 306XRDT. Je ne sais plus très bien pourquoi ce choix en particulier, peut-être l’image d’un diesel robuste rendu puissant par son turbo. Ça remonte à loin, autour de 1995. Je passe sur la fiabilité de la chose.
Une autre tentative, celle de découvrir la doïtsh kalitat avec une Mercedes A 190 BVA. Essence cette-fois-ci. La vraie préoccupation écologique n’est pas encore là. Je passe sur la fiabilité de la chose…. Et sur le prix ! Mais, ça m’a bien calmé et vous ne me verrez pas de sitôt en allemande.
Je commence à me poser autour de 2005 quelques questions sur l’écologie et avec peu d’informations pertinentes j’ai choisi de rouler en Honda Accord i-CTDI. Pas de FAP, mais consommant peu et un très bon choix d’un point de vue de fiabilité. Une voiture que je regrette, même s’il a fallu devenir un peu raisonnable.
C’est ensuite que j’ai récupéré la Civic 1,5i GT de 86 de mon patron comme voiture de campagne, utilitaire à tout faire, etc. Voiture très rigolote que je regrette également.
Cette fois-ci l’avenir du diesel me semble compromis, en tout cas chez moi.
Lexus m’a intrigué avec une pub pour le RX où on voyait un gros SUV de 300ch avec autant d’émission de CO2 que mon mazout de 140ch… Vous avez dit problème ? Oui, certes, essentiellement financier parce qu’il était cher le RX. De toute façon il était trop gros, je suis toujours resté sur le juste nécessaire (bon, tout est relatif) et une berline m’allait très bien.
Mais là, il y avait un vrai problème parce que il n’y avait rien d’hybride chez Lexus qui soit plus raisonnable. La CT est apparu plus tard… Trop juste pour une familiale/routière.
Et c’est là que la perle rare apparaît : Lexus IS300h.
Bloc plus puissant que celui de la CT, plus raisonnable que celui du RX ou de la GS (également hors de prix). Un bon compris entre la conso, la puissance et l’hybridation.
Il a fallu attendre quelques mois, mais fin 2013 la commande est passée en profitant d’un bon gros bonus (merci à tous les gros pollueurs !). Livraison début 2014, l’attente fut longue.
Cette voiture était avant tout destinée à ma femme qui fait toujours ses 200km par jour pour aller travailler. Vous pouvez donc imaginer facilement qu’une voiture confortable est quasi-indispensable dans ces conditions. D’ailleurs elle l’a toujours appréciée en dehors de son gabarit qui lui semble imposant.
La voiture faisait donc des trajets moitié autoroute, moitié routes de campagne avec un peu de ville. La conso moyenne se situait autour de 6l, un peu plus que notre mazout.
Mais malgré le mazout très civilisé, une insonorisation correcte et un bon confort l’Accord était largement battue par l’IS.
Le bloc dont j’ai déjà parlé ne se manifeste que quand on le sollicite beaucoup, ce qui arrive rarement, le reste du temps on ne l’entend pas.
La voiture est très bien insonorisée. On pouvait surtout lui reprocher d’entendre le bruit de roulement des pneus à l’arrière.
D’ailleurs la finition Exécutive avec des jantes en 18 pouces étant une aberration je les ai virées avant la livraison. J’ai eu la voiture directement en 17 pouces ce qui suffit largement et pratiquement dans toutes les circonstances. Malheureusement les Yoko d’origine n’étaient pas une monte rêvée (trop durs, trop de bruit, trop de résistance au roulement). Le remplacement a été fait à plus de 80000 km et ça change la vie.
Le confort des suspensions est très bon. Malgré des suspensions typées sport, le filtrage est très bon.
C’est ferme, mais confortable. Les sièges doivent y être pour quelque chose également.
On est très bien à 4 dans la voiture. La cinquième place, il faut l'oublier sauf pour dépanner et encore avec un gamin de préférence.
Le coffre est suffisant. Il est un peu plus petit que celui de notre Accord (480 -> 450l), mais ça le fait à 3 et parfois à 4.
Une voiture que j’apprécie vraiment beaucoup et que je vais garder longtemps, j’espère.
Je passe sur tous les équipements et probablement sur plein de choses que j’ai oubliées, mais je suppose que vous saurez me relancer pour compléter ce témoignage.
Voilà comment j’en suis arrivé là.
Ma première voiture fut une 306XRDT. Je ne sais plus très bien pourquoi ce choix en particulier, peut-être l’image d’un diesel robuste rendu puissant par son turbo. Ça remonte à loin, autour de 1995. Je passe sur la fiabilité de la chose.
Une autre tentative, celle de découvrir la doïtsh kalitat avec une Mercedes A 190 BVA. Essence cette-fois-ci. La vraie préoccupation écologique n’est pas encore là. Je passe sur la fiabilité de la chose…. Et sur le prix ! Mais, ça m’a bien calmé et vous ne me verrez pas de sitôt en allemande.
Je commence à me poser autour de 2005 quelques questions sur l’écologie et avec peu d’informations pertinentes j’ai choisi de rouler en Honda Accord i-CTDI. Pas de FAP, mais consommant peu et un très bon choix d’un point de vue de fiabilité. Une voiture que je regrette, même s’il a fallu devenir un peu raisonnable.
C’est ensuite que j’ai récupéré la Civic 1,5i GT de 86 de mon patron comme voiture de campagne, utilitaire à tout faire, etc. Voiture très rigolote que je regrette également.
Cette fois-ci l’avenir du diesel me semble compromis, en tout cas chez moi.
Lexus m’a intrigué avec une pub pour le RX où on voyait un gros SUV de 300ch avec autant d’émission de CO2 que mon mazout de 140ch… Vous avez dit problème ? Oui, certes, essentiellement financier parce qu’il était cher le RX. De toute façon il était trop gros, je suis toujours resté sur le juste nécessaire (bon, tout est relatif) et une berline m’allait très bien.
Mais là, il y avait un vrai problème parce que il n’y avait rien d’hybride chez Lexus qui soit plus raisonnable. La CT est apparu plus tard… Trop juste pour une familiale/routière.
Et c’est là que la perle rare apparaît : Lexus IS300h.
Bloc plus puissant que celui de la CT, plus raisonnable que celui du RX ou de la GS (également hors de prix). Un bon compris entre la conso, la puissance et l’hybridation.
Il a fallu attendre quelques mois, mais fin 2013 la commande est passée en profitant d’un bon gros bonus (merci à tous les gros pollueurs !). Livraison début 2014, l’attente fut longue.
Cette voiture était avant tout destinée à ma femme qui fait toujours ses 200km par jour pour aller travailler. Vous pouvez donc imaginer facilement qu’une voiture confortable est quasi-indispensable dans ces conditions. D’ailleurs elle l’a toujours appréciée en dehors de son gabarit qui lui semble imposant.
La voiture faisait donc des trajets moitié autoroute, moitié routes de campagne avec un peu de ville. La conso moyenne se situait autour de 6l, un peu plus que notre mazout.
Mais malgré le mazout très civilisé, une insonorisation correcte et un bon confort l’Accord était largement battue par l’IS.
Le bloc dont j’ai déjà parlé ne se manifeste que quand on le sollicite beaucoup, ce qui arrive rarement, le reste du temps on ne l’entend pas.
La voiture est très bien insonorisée. On pouvait surtout lui reprocher d’entendre le bruit de roulement des pneus à l’arrière.
D’ailleurs la finition Exécutive avec des jantes en 18 pouces étant une aberration je les ai virées avant la livraison. J’ai eu la voiture directement en 17 pouces ce qui suffit largement et pratiquement dans toutes les circonstances. Malheureusement les Yoko d’origine n’étaient pas une monte rêvée (trop durs, trop de bruit, trop de résistance au roulement). Le remplacement a été fait à plus de 80000 km et ça change la vie.
Le confort des suspensions est très bon. Malgré des suspensions typées sport, le filtrage est très bon.
C’est ferme, mais confortable. Les sièges doivent y être pour quelque chose également.
On est très bien à 4 dans la voiture. La cinquième place, il faut l'oublier sauf pour dépanner et encore avec un gamin de préférence.
Le coffre est suffisant. Il est un peu plus petit que celui de notre Accord (480 -> 450l), mais ça le fait à 3 et parfois à 4.
Une voiture que j’apprécie vraiment beaucoup et que je vais garder longtemps, j’espère.
Je passe sur tous les équipements et probablement sur plein de choses que j’ai oubliées, mais je suppose que vous saurez me relancer pour compléter ce témoignage.
Voilà comment j’en suis arrivé là.