Je ne voudrais pas provoquer la confusion avec mes données personnelles, seulement les produire comme une très probable hypothèse haute.
En précisant mon usage chacun pourra éventuellement considérer ces chiffres comme une limite supérieure qu'il pourra être quasiment sûr de ne pas dépasser, sauf à considérer qu'il est aussi peu économe que moi sur autoroute sur très longs parcours.
S'agissant du dernier tableau, c'est une volonté d'isoler certains facteurs et au final chercher des différences entre mes deux véhicules, conduits par moi , de la même manière, dans les mêmes conditions et sur les mêmes parcours, avec une valeur statistique qui provient du nombre plutôt important de relevés (plein à plein), qui m'a guidé dans une évaluation toute personnelles des différences entre un C-HR 1.8L et une Prius 2 1.5L.
Bien sûr, pour notre ami
H
Huxel ce même type de relevés entre C-HR et Prius 4 auraient été vraiment utiles, mais , pardon, j'ai préféré la C-HR, et je suis trop attaché à la P2.
Néanmoins, comme le subodorent
H
Huxel et
Chti73 la comparaison avec une Prius 4 , pour absente qu'elle est ici , est déjà évidente sur le papier et les spécifications techniques . Oui, je suis évidemment persuadé que le C-HR sur autoroute peut s'en tenir à 5.6L/100 que j'ai souvent obtenu en roulant "normalement", et certain que la P4 fera toujours moins que le C-HR.
Du reste, si on comprend bien que je roule à 137 au compteur correspondant exactement à 130 réels on pourra en déduire qu'en raison de son aérodynamisme de sabot le C-HR verra la différence de consommation d'autant à son désavantage, plus qu'à 130 OBD, 110 dans les courbes , descentes et raccordements, 90 dans les travaux etc. etc.. Une La Palissade...
Je me suis efforcé d'isoler le plus possible mes pleins autoroute des parcours préliminaires ou de transition pour me rapprocher le plus possible du réel, car ces quelques km de routes les précédents ou y faisant suite auraient eu pour effet de fausser la teneur des résultats.
Pour le moment je serais tenté d'arguer que les données autoroutes ayant été isolées depuis le dernier automne seulement, à ce jour s'y ajoutent les facteurs saisonniers: température, précipitations, monte pneumatique hiver. On peut juste espérer qu'avec mes longs périples printaniers et estivaux, la moyenne autoroute sera (à peine) revue à la baisse.
Tout cela n'est pas très scientifique, sans doute, mais apporte je l'espère un peu plus de crédit statistique à ces données qu'en aurait eu une vague citation en mode "moi je". Je vous autorise à en douter ...