COVID-19

Je trouve ça délicieux.

Marre qu'on nous explique qu'il faut détester le goût des aliments mauvais pour la santé !

Pas tous les aliments d'ailleurs... jamais vu personne pour critiquer le fromage ou le vin qui pique la gorge, alors que plein de gens détestent ça. Et pourtant, ce serait au même titre que le Nutella, mauvais pour la santé...
Halte-là, moi je trouve ça dégueu parce-que mes papilles me le disent, pas par idéologie anti-malbouffe !
Je n'aime pas le chocolat au lait à la base (du moins beaucoup moins que le noir, ce qui n'est pas original), mais parmi les chocolats au lait les Ferrero sont les pires que je connaisse. Et derrière, en soit-disant plus prestigieux, la marque Lindt est bien trop sucrée à mon goût également.

Après, j'accorde effectivement de l'importance aux composants et en soi c'est aussi une raison pour moi de ne pas acheter cette m.... (et de ne pas être d'accord avec ceux qui en donnent à leurs mômes pour en manger à profusion).

Mais comme toi je peux être attiré par la malbouffe, par exemple j'adore les Cheeseburgers de chez MacDo, et suis content d'en manger sur la route quand il n'y a pas de solution plus pratique, une fois tous les 2-3 ans :)
 
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Je trouve ça délicieux.

Marre qu'on nous explique qu'il faut détester le goût des aliments mauvais pour la santé !

Pas tous les aliments d'ailleurs... jamais vu personne pour critiquer le fromage ou le vin qui pique la gorge, alors que plein de gens détestent ça. Et pourtant, ce serait au même titre que le Nutella, mauvais pour la santé...
Bien sûr que ça flatte le palais, tout est fait pour d'ailleurs. Je crois que le débat porte moins sur le goût des aliments que sur leur qualité nutritionnelle. Et bien entendu qu'il n'y a pas vraiment de problème à tartiner un peu de Nutella sur une crêpe à la chandeleur. le problème vient d'une consommation régulière et excessive, mais aussi et surtout que le sucre est un puissamment addictif, agissant sur le cerveau comme une véritable drogue (à nuancer cependant, soyons honnête, les avis divergent sur ce point précis dans la communauté scientifique). Or, il y en a désormais partout dans la bouffe industrielle, impossible d'y échapper. On peut facilement le constater, le sucre appelle le sucre. Et tu as raison, c'est idem pour le vin. Perso j'aime le vin, mais je n'en bois que très occasionnellement car je sais que c'est un produit intrinsèquement toxique (indépendamment de la dose) pour le corps tout en étant addictif.
 
Dans une des émissions de Michel Cymes, il avait illustré la quantité de sucre ingurgitée quotidiennement en utilisant des morceaux de sucre.
"On mange tel truc : il y a combien de sucre dedans ? On convertit çà en morceaux de sucre"
Y passaient les céréales du petit déjeuner, a pizza de midi, la charcuterie avec les cornichons, etc.
Le nombre de morceaux le soir était hallucinant (de mémoire, 250g mini) !
Oui je l'ai vue aussi, c'est hallucinant. Personnellement j'ai pris il y a quelques années une décision "radicale" (n'exagérons rien quand même lol) qui m'a permis de réduire ma consommation de sucre et plus globalement ma consommation alimentaire globale, et a régulé ma satiété : je pratique le jeûne intermittent, ce qui signifie en gros que je ne prends plus de petit déjeûner et ne consomme aucune calorie entre mon repas du soir et celui du midi (soit une fenêtre de jeûne de 16h minimum). Squizzer le petit déjeuner est plus pratique socialement, et en plus c'est généralement un repas riche en glucide et pauvre sur le plan nutritionnel (ça dépend de chacun mais c'est vrai que par chez nous on n'est pas trop habitué au petit dej "salé"). Bref, depuis que j'ai pris cette décision, j'ai perdu doucement et régulièrement du poids, lequel s'est ensuite stabilisé, et je n'ai jamais faim avant l'heure du déjeuner (alors qu'avant j'avais toujours la dalle dès 11H alors que j'avais mangé à 7h). Je fais dès que c'est possible mon sport à jeun le matin sans que cela ne me pose aucun problème (au contraire les performances sont meilleures sans aucun doute). Associé à une alimentation variée et équilibrée dans la mesure du possible, je n'ai plus aucun problème de poids alors que j'avais quasiment toujours eu un surpoids tout en pratiquant du sport régulièrement. J'ai commencé il y a 4 ans et je ne reviendrai jamais en arrière. Consommer moins et moins sucré, c'est pas si compliqué et c'est la clef du succès (ça ferait un beau slogan publicitaire!)
 
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Bien sûr que ça flatte le palais, tout est fait pour d'ailleurs. Je crois que le débat porte moins sur le goût des aliments que sur leur qualité nutritionnelle.
Il n'y a pas de débat ! Tout le monde sait que le Nutella n'est pas un "aliment santé". Idem pour les produits transformés.
Tout le monde est au courant des 5 fruits et légumes (minimum), qu'il faut faire de l'activité physique, manger moins salé, sucré, etc.
Tout le monde sait aussi que les consommations excessives (quelque soit la substance : alcool, tabac, viande, café, etc.) sont néfastes et addictives.

Entièrement d'accord avec toi sur le reste.

Le problème est notre capacité à résister à la frustration et à la publicité qui voudrait nous faire croire que le Nutella c'est bien parce qu'il y a du lait et des noisettes, ou bien que les céréales du petit déjeuner contiennent des fibres ou des vitamines...
Si on a la chance d'être constitué comme Grigou Grigou et ne pas aimer les choses trop sucrées, la vie est formidable ;)
Pour les autres, il faudra :
- être courageux et résister à la tentation, trouver des plaisirs autres que la nourriture
- aller chercher des infos santé ailleurs que dans les publicités de l'agroalimentaire

En ce qui me concerne, je me prive de publicité (qui nous incitent toutes à "céder à la tentation"), ça me permet de ne pas être tenté constamment.
 
Si on a la chance d'être constitué comme @Grigou et ne pas aimer les choses trop sucrées, la vie est formidable ;)
Hélas ce n'est pas le cas. Je parlais du chocolat que je préfère noir, et si au lait, pas trop sucré.
Mais pour le reste, le sucre m'attire comme toi. Dans mes fraises je mets du sucre, et de la chantilly en bombe ...

Mais j'ai arrêté tous les jus de fruits au profit de l'eau, même s'ils étaient pourtant pur jus et bio. A la place nous veillons à manger des fruits.
Avant je ne buvais que des jus de fruits quand j'avais soif, du moins à la maison. Sans parler de ma période Coca (pas light) il y a plus longtemps.
 
En ce qui me concerne, je me prive de publicité (qui nous incitent toutes à "céder à la tentation"), ça me permet de ne pas être tenté constamment.
Moi aussi, j'essaie de me priver de publicité. D'ailleurs, pour moi, elle commece depuis quelques années à avoir l'effet inverse: le fait de voir un produit encensé me rend suspicieux et je ne l'achète par principe pas (alimentaire)

Malheureusement, se priver de publicité ne suffit pas, les équipes marketing pensent à tout:
Tu es aussi tenté maintes fois une fois que tu pousses la porte de ton magasin préféré...
Pour ma part, c'est par les offres (1 pour 2, 3 pour 2 etc) que je me fait souvent "avoir"

Solutions:
-> résisiter (un truc consiste à aller faire ces achats le ventre plein):
-> acheter local et direct (ferme, marché)
-> commander et se faire livrer
-> ?
 
Le problème ce n'est pas tant la pub, c'est juste que notre cerveau est câblé d'une façon qui fait que le sucre est une sorte de "hack" total de tout le métabolisme. Notre matériel génétique n'était tout simplement pas prêt, quand le sucre industriel a été isolé et donc concentré, à y faire face.

Et il n'est toujours pas prêt, il faudra probablement des centaines de générations d'être humains avant de l'être. Même en l'absence de pub, un individu qui a été mis en relation avec le sucre à un âge assez jeune, même si on le prive pendant 30 ans de nutella/pain/pâtes, il replongera aussi sec 30 ans plus tard car il ne peut pas lutter contre le circuit de récompense du cerveau...

La seule manière, c'est d'éviter l'exposition le plus possible et surtout le plus jeune possible*, pour ne pas avoir ces circuits dopaminergiques trop développés. Et même en faisant cela, une personne de 70 ans pourrait encore succomber sans problème et devenir addict, comme nous le sommes tous. Même les gens qui n'aiment pas le chocolat restent addicts au sucre sous ses autres formes : pain, féculents etc...

Il y a eu grosso modo 100 000 générations d'homo sapiens jusqu'à l'agriculture (introduction des féculents réguliers, donc début de la cata) et seulement une dizaine depuis la révolution industrielle (là c'est carrément devenu n'importe quoi). L'être humain n'a pas pu s'adapter, il faut donc revenir à des aliments le plus en adéquation avec ce que notre matériel génétique peut assimiler : en clair, si ça a une étiquette, faut s'en méfier :D

*edit: c'est très mal barré à cause des "1eres céréales" qui font que le gamin bouffe du sucre raffiné dès les premiers mois de vie...
 
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Il y a eu grosso modo 200 générations d'homo sapiens jusqu'à la révolution agricole (introduction des féculents réguliers, donc début de la cata)
Si on compte 4 générations par siècle tu dates l'apparition de Sapiens de 5000 ans ...:emoticon-0126-nerd:
 
plutôt 100 000 effectivement avant d'arriver à -9000 av JC (plutôt l'invention de l'agriculture et pas la révolution agricole)
 
Il se passe une chose étrange en Italie : depuis une semaine, l'utilisation de masques n'est obligatoire que dans les hôpitaux, les maisons de retraite et les bureaux publics, tandis que dans les autres endroits, elle n'est que recommandée.
Ce qui est étrange, c'est qu'au moins 90 % des gens continuent à utiliser les masques comme avant, avant qu'il y ait de grandes manifestations contre l'utilisation des masques, maintenant qu'ils ont été retirés, au moins 90 % des gens continuent à les utiliser...
:facepalm:
 
Il y a deux raisons à ta remarque:
D'une part ceux qui râlent ne sont pas forcement en majorité et parfois seulement quelques uns mis en avant par les médias, car ils remplissent ainsi leur feuille de choux.
Par conséquent, quand tu vois par toi même, et bien il s'avère que les râleurs n'étaient pas majoritaire et que la population reste prudente dans l'ensemble, mais tu verras que dans un mois ils seront très peut à le garder.
 
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Tu as raison, comme le dit le proverbe : " fait plus de bruit un arbre tombe que quand toute une forêt que pousse " mais, même en sachant que les manifestants étaient la plus petite partie, cela fait sourire de voir que plus de 90% des gens continuent à se protéger malgré le fait que ce ne soit plus obligatoire.
 
En France on est moins sage : une minorité le porte là où ce n'est plus obligatoire, et environ la moitié des gens le portent dans les transports, où il reste obligatoire...
 
Quoi qu'il en soit, je continue à être prudent, le Covid est toujours là avec toutes ses variantes et, ayant une personne handicapée à la maison, je ne peux pas me permettre de contracter ce virus.
Ensuite, du moins pour moi, il n'est pas si lourd d'utiliser le masque pendant ce petit moment en faisant des courses ou en entrant dans un bureau, en fait je pensais continuer à l'utiliser même lorsque l'urgence sera passée pour me protéger de manière naturelle pendant les périodes de grippe saisonnière.
 
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En France aussi l'épidémie continue, mais il y a clairement du relâchement, ce qui fait que l'on est passé de 400-500 morts par jours dans les pires moments, à 100-200 morts par jour en ce moment.
Soit une division par 4 de nombre de décès alors que tout le monde pense qu'il n'y a plus rien à craindre.
 
Il se passe une chose étrange en Italie : depuis une semaine, l'utilisation de masques n'est obligatoire que dans les hôpitaux, les maisons de retraite et les bureaux publics, tandis que dans les autres endroits, elle n'est que recommandée.
Ce qui est étrange, c'est qu'au moins 90 % des gens continuent à utiliser les masques comme avant, avant qu'il y ait de grandes manifestations contre l'utilisation des masques, maintenant qu'ils ont été retirés, au moins 90 % des gens continuent à les utiliser...
:facepalm:
C'est toujours des FFP2 aussi chez vous à l'intérieur non ?
 
C'est une sacré différence quand même qui je pense permet aux gens d'avoir envie de le garder plus longtemps et qui a une réelle utilité pour les autres mais aussi pour la personne qui l'utilise. Reste à voir maintenant, Juin si ça remonte, si nouveau variant, puis Septembre, puis l'automne, puis l'hiver.
Ce qui m'inquiète le plus c'est qu'il y a encore plein de question qui restent sans réponses ou avec réponses mais contradictoires.
 
En France on est moins sage : une minorité le porte là où ce n'est plus obligatoire, et environ la moitié des gens le portent dans les transports, où il reste obligatoire...
Je confirme sur Paris, dans les métros et RER, le masque est bien souvent absent.
 
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